Un dessinateur-garou chez Caramba !

Curieux par nature, ce garçon venu des contrées ibériques, n’hésite pas à s’essayer aux différentes facettes que lui offre le métier de la bande dessinée : auteur complet et aussi coloriste ou encreur, storyboarder et enseignant.
Philippe de la Fuente est né à La Corogne, en Espagne, en 1969. Il étudie aux Beaux-Arts de Madrid et il vit une grande passion pour la BD. C'est ainsi qu'il participe aux fanzines espagnols PotaG, Paté de Marrano et El Cretino.

En 1995, il s'installe en région parisienne. Il réalise alors ses premières œuvres parisiennes avec le collectif Trait de plume ("Un parque"). Il rejoint la Comédie Illustrée avec laquelle il édite "Peronnik l'idiot" en 1997 et "Le mystère des femmes volées" en 1999. Depuis, il publie régulièrement dans les magazines Spirou, le journal de Mickey ou Science & Vie Découverte, dessine des story-boards pour des dessins animés sous la direction de Bernard Deyriès ("Petit Potam", "Les malheurs de Sophie", "La princesse du Nil" et "Pépin Trois Pommes") et donne des cours de bande dessinée au centre d’animation Reuilly entre 1996 et 1999.
Installé maintenant à Tours, il donne des cours de croquis à l’Université François Rabelais et poursuit son activité d’illustrateur et auteur de BD à l’atelier Cachalot qu'il partage avec quatre autres dessinateurs.
Nous avons le plaisir d'accueillir cet auteur dans nos rangs avec un album numérique de BD à paraître prochainement sur l'AppStore : "Un loup-garou à Snow-Ville", une bande dessinée humoristico-fantastique ou l'on découvre une belle jeune fille, objet de l'attention de tous, un loup-garou, un dragon et un héros maladroit, tout cela promet une fin de soirée mouvementée !
Petite bibliographie : "Jean l’or" La Cafetière (1997), "Peronnik l'idiot" La Comédie Illustrée (1997), "Le mystère des femmes volées" La Comédie Illustrée (1999), "Le chemin d'Édam" Treize Etrange (1999), "Un clair de lune" La Comédie Illustrée (2001), Collectif "Tours à Tours" La Comédie Illustrée (2005), 3 tomes "Les blagues juives" Delcourt (2006-2008).

Retards

Prévue pour fin mai, la parution des Escapades Nocturnes d'Aphrael est retardée. La raison en est la prochaine sortie du nouveau système d'exploitation de l'iPhone. Au rythme d'une nouvelle version chaque semaine depuis un mois et demi, mon bon Thierry, qui s'occupe du développement, s'arrache les cheveux (il a pu en garnir un coussin, ils sont donc passés de sa tête sous son roploplo), ronge sa souris (juste retour des choses), calcine son clavier (pire que Glen Gould aux Variations Goldberg) et ne se met plus au travail qu'avec un casque de moto, à force de se taper la tête contre les murs… À quand les perfus ?
Donc, dès que Môssieur Apple nous aura concocté la "def", Aphrael ne saurait tarder… sûrement pour deuxième quinzaine de juin.
Pendant ce temps, on avance sur d'autres projets et de plus en plus de monde est conscient que l'avenir se joue là.

Le Making of de la couverture

Je n'ai pas été très bavard ce mois d'avril mais, je vous le promets, je vais me rattraper car nous préparons de nombreuses parutions : recueils de nouvelles, romans, BD, etc…, les auteurs et les lecteurs s'intéressant de plus en plus à l'iPhone ; de plus nous sommes en train de mettre en place des collaborations avec des éditeurs, donc l'actualité éditoriale des prochains mois va être progressivement plus chargée.

Le Dr Borg travaille actuellement sur une toute nouvelle formule chimique ayant pour but de ressusciter trois voyous sympathiques que je connais bien pour les avoir dessinés il y a quelques années, les Pieds Nickelés. Il a cependant trouvé le temps de nous préparer un petit making of de la couverture de son recueil de gags "Pas de week-end pour les cyborgs" à paraître très bientôt chez Caramba !
Suivons-le pas-à-pas…
Phase 1 : le crayonné.

Phase 2 : la réalisation en dessin vectoriel.

Phase 3 : le dessin des traits.

Phase 4 : la pose des trames, véritable signature graphique de notre savant fou de service.

Phase 5 : la couverture finie.

Voilà, il n'y a plus qu'à patienter quelques petites semaines et vous pourrez télécharger ce merveilleux recueil de 100 gags sur l'iTunes AppStore…

La BD multimédia

En réalisant des BD spécialement pour iPhone et iPod touch, on est confronté au fait que ses appareils offrent, par leurs capacités multimédias, des possibilités de développement bien supérieures à un simple livre. On peut donc se poser la question de faire une BD multimédia et essayer de définir ce qu'elle serait. Déjà, par le passé, des tentatives ont été faites sur CD pour combiner bruitages, dialogues, musique, images fixes et animées, sans grand succès malgré le temps et l'investissement consacrés. Le piège à éviter est de dériver vers d'autres formes d'expression sans en avoir tous les codes et les moyens : la BD, ce n'est pas du dessin animé. Comme la photo, qui vit très bien à côté du cinéma, la BD permet de faire des arrêts sur image, de savourer des instants figés et permet de raconter une histoire sans l'énorme investissement de temps et d'argent requis par le dessin animé. Il faut donc garder sa spécificité d'images fixes. Nous vous proposerons un aperçu de cela dans le petit album gratuit d'Aphrael ; en voici un exemple : dans la mesure où le cadrage ne change pas pour une séquence (plan-séquence), autant faire une succession d'images fixes sur un même décor.

Dans le même ordre d'idées, lors d'une discussion entre deux personnages, les bulles de dialogues se succèdent au rythme de la lecture. À nous de trouver les cas spécifiques où l'on ne dénature pas la forme de la BD et où l'on utilise au mieux les capacités techniques de l'appareil.
Sachant que nos habitudes de lecture vont grandement évoluer dans les prochaines années pour se tourner vers tous ces appareils multimédias, l'offre va s'élargir dans ce sens et alors, à chaque auteur de choisir la forme, traditionnelle ou multimédia, qu'il voudra donner à son travail… tout en gardant l'essence et l'essentiel de ce qui définit une BD.
(Un éventuel problème d'affichage de l'animation ci-dessus peut survenir, rechargez la page)

Aphrael : mise en couleur du strip 5

Le strip 5 a été présenté en crayonné il y a une quinzaine. Le voici pour rappel :

Après le crayonné, c'est la réalisation du dessin définitif à l'encre et au pinceau, format 24 x 16 cm.

Puis, dans le célèbre logiciel de retouche Photo, la mise en couleur. D'abord le fond de ciel et les ombres sur les personnages puis leur mise en couleurs.

Et bientôt la BD entière en téléchargement gratuit sur iTunes AppStore…

Samedi 4 avril 2009 : journée SANS ACHATS

Vous l'avez sûrement reçu…
C'est une action non-violente citoyenne, les médias s'en feront-ils l'écho ?
Je relaie ce texte que je reçois depuis quelques jours par email et qui va, pour ce qui nous concerne, dans le sens de notre appréhension du marché du livre, de nos choix éditoriaux et des efforts que nous faisons pour que nos éditions ne soient pas chères.

"D'autres pays l'ont déjà fait. Et ils ont réussi à faire baisser le prix des pâtes alimentaires pour l'Italie. Deux jours de grève d'achats a suffit pour faire reculer l'énorme augmentation du prix des pâtes. 
Même action au Liban pour le prix du pain, le lendemain de la grève d'achats le prix du pain reprenait son ancien prix.
Participez au mouvement national samedi 4 avril 2009. Le gouvernement et les grands financiers de ce pays se souviendront :
Vous êtes invités, tous et toutes, ce jour-là à ne RIEN ACHETER surtout :
- essence, gasoil, tabac
- Jeux de hasard
- alcool (NDLR : le reste de l'année aussi !)
- boycott de la grande distribution 
- essayer de ne pas être verbalisé
Avec un minimum d'organisation, nous pouvons tous y arriver.
Ce message n'est issu d'aucun parti politique ni d'aucun syndicat.
Imaginez l'impact que ce mouvement solidaire national pourrait engendrer.
Cette action sera, et c'est certain, plus efficace que n'importe quelle grève ou manifestation !!!!.
Cette action fera changer les choses ;
Diffusez ce mail à tous vos contacts internet… Faites vite, la date sera vite arrivée
Prévenez vos amis, vos collègues, familles… qui eux-mêmes préviendront à leur tour, leurs amis, familles, etc…
L'effet boule de neige se fera naturellement.
Servons-nous d'internet, cette merveilleuse invention. Aidons-nous et nous parviendrons à faire reculer la vie chère. 
Ne dites pas "cela ne servira à rien"
Observez le 5 avril les réactions constatées grâce à vous, grâce à nous. 
Cessons de nous plaindre et AGISSONS !"

A la différence de l'Italie ou du Liban, on peut regretter qu'il n'y ait pas un mot d'ordre précis. Il y a un profond mécontentement général face à cette crise provoquée, à la puissance de la finance, aux inégalités toujours plus grandes, aux nombreux licenciements quotidiens, au cynisme des dirigeants, au détournement des mots et des images, etc, etc… (plusieurs pages de blog n'y suffiraient pas !) Il faut bien commencer par quelque chose, pour s'y retrouver tous un jour…

Pas de week-end pour Docteur Borg

Il a travaillé dur dans son laboratoire secret enfoui sous la Ligne Maginot pour adapter ses gags à notre format d'édition, semaines et week-ends, se privant de manger, de dormir et même de "Plus belle la vie", tel un savant fou à deux doigts de découvrir l'arme absolue qui en fera le maître de monde !
Heureusement, ses auxiliaires mécaniques l'on fortement soutenu…

Que serait un monde peuplé uniquement de robots, où les habitudes humaines seraient transposées dans un univers de métal, où découvrir un coin de verdure serait pire qu'une hérésie ?

C’est cet univers 100 % mécanique que le Docteur Borg met en scène dans "Pas de week-end pour les cyborgs" ; mais pourquoi les robots plutôt que les loutres, qui sont tout de même beaucoup plus attachantes ?
«J'admets la popularité croissante des loutres. Cependant cet attachement désuet aux espèces en voie de disparition me semble peu porteur d'avenir. Par contre, en tant qu'espèce en voie d'apparition, les robots méritent toute notre attention. Et puis, un des gros avantages des robots est de pouvoir raconter exactement la même chose qu’avec des humains, mais sans avoir besoin de savoir dessiner les mains ou les plis des vêtements. Cela permet de gagner un temps fou !»

Pour ce projet, le Docteur a développé une technique bien particulière : «Dessiner à la main tue des arbres (papier, crayons, tables, les dessinateurs sont en grande partie responsable de la déforestation)(NDLR : et ne parlons pas des éditeurs et de leurs livres !). J'utilise une technique basée sur le déplacement de pixels par impulsions électriques. Concrètement, je trace des courbes vectorielles à la tablette graphique dans un célèbre logiciel dont je tairais le nom, dans un autre logiciel dont le nom se dispense également de publicité, je rajoute les trames et pour finir, j'ajuste les couleurs.»

Sur l'échelle Warhol de la célébrité (qui s'étend de Chang Tao, paysan du Sin-Kiang à Christ Jésus, prophète méditerranéen), le Docteur Borg se situe bien en dessous de Tokyo Hôtel. Né en 68 dans l'est de la France, il fait, sous son vrai nom, de l'illustration pour la jeunesse et sous le cocasse pseudonyme de Trap, des scénarios de bandes dessinées : Deux albums avec Nicolas Hubesch, aux éditions Milan : "Aux frontières du quaternaire" et "Grenadine et Mentalo : Fille ou glaçon ?" avec Colonel Moutarde. Il est également l’auteur avec Stéphane Oiry de "J’élève mon robot de compagnie" aux Editions Sarbacane et anime "Le Poulpe Multipotent", la revue de BD pour enfant interdite aux moins de 10 ans.
Actuellement, il co-scénarise avec Stéphane Oiry de nouvelles aventures des Pieds Nickelés à paraître en novembre aux Editions Delcourt et prépare avec Nicolas Hubesch un album de science-fiction "Le nouvel âge" aux Editions Sarbacane.

Après toute cette promo pour les confrères, il est temps que je vous rappelle que "Pas de week-end pour les cyborgs" rassemble une centaine de gags et va bientôt paraître chez Caramba !, sera disponible au téléchargement d'ici un mois sur les iTunes Stores en 3 langues et en édition à la demande pour l'album papier. Suivez nos articles et nos avis de parution, vous aurez le plaisir de découvrir quelques extraits, un making of et tout un tas de petites perles volées dans la corbeille du labo du Dr Borg par un de nos agents infiltrés…

L'édition numérique, c'est écolo !

Aujourd'hui, on réfléchit à être moins prégnant sur notre environnement et donc il paraît logique que je me pose la question pour ce qui est de l'édition de livres. 
Observons ce qu'est devenu le marché du livre depuis quelques années : les éditeurs traditionnels se livrent à une guerre totale pour inonder ce marché de leurs productions respectives et se disputent le faible espace des rayonnages des libraires, la conséquence en étant une vie très raccourcie des œuvres (elles restent généralement entre 15 jours et un mois en rayon), le risque de rater de nombreux livres souvent même pas pris en référence par tous les libraires étant donné l'énorme volume à suivre, des dépenses plus grandes pour les lecteurs, mais surtout une consommation phénoménale de matières premières et d'énergie. 
Je vous invite à faire mentalement le parcours de l'arbre au livre : 
- Abattage des forêts : seulement deux pays dans le monde gèrent efficacement leurs forêts pour produire du papier ; ailleurs, c'est la loi de l’offre et de la demande sans tenir compte des temps nécessaires à la reforestation ; c'est aussi la destruction d’éco-systèmes où tous les végétaux et tous les animaux présents sont touchés.
- En résumé, abattage et transport du bois = destruction de l'environnement naturel, consommation d’énergie et pollution.
- Fabrication du papier : pollution atmosphérique et grosse pollution aquatique.
- Colles, blanchisseurs, colorants et autres composants du papier et des encres d’imprimerie = pollution chimique et utilisation de matières premières.
- Impression des livres = pollution et consommation d’énergie.
- Les divers acheminements du papier et du livre : du papetier à l'imprimeur puis à l'éditeur, puis au diffuseur, puis au libraire, puis les retours des invendus ou leur mise au pilon.
Ça donne à réfléchir !
Notre choix, c'est l'édition numérique : en changeant progressivement ses habitudes et en s'accoutumant à la lecture sur des appareils comme les iPhones et les iPods Touch, ce qui va très vite, surtout si, comme nous, la mise en page ou les dessins sont dès le départ prévus pour ce format. Ainsi, on se tourne vers l'avenir, et c'est très pratique à l'usage, plus léger et moins encombrant qu'un livre et, comme je l'ai dit par ailleurs, cela permet de disposer de toute une bibliothèque pendant qu'on se déplace, la possibilité de télécharger où qu'on soit et tous les avantages techniques permettant de faire des expériences de lecture plus créatives, de faire un break en jouant à un jeu ou, dans le prolongement de sa lecture, de faire des recherches sur internet ou dans une encyclopédie en ligne. 
De plus, en offrant pour chacun de nos ebooks la possibilité de faire une édition à la demande, c'est-à-dire une impression à l'unité, uniquement pour ceux d'entre vous qui souhaiteraient avoir le livre papier ou pour l'offrir, le tout pour une somme totale n'excédant pas le prix moyen d'un livre en librairie, c'est dans ce cas une consommation raisonnée de nos ressources qui vous laisse le choix et si vous n'utilisez que votre lecteur numérique, vous fait faire de très grandes économies.

Bientôt, les premiers ebooks

Une BD, un roman et un recueil de gags sont en cours de production finale et seront disponibles d'ici fin avril sur l'iTunes Store. Dès leur mise en ligne, une annonce et un lien seront mis sur la bande de gauche et un article en fera leur présentation complète.

Chacun son Premier Cercle…

"Le premier cercle" : je découvre avec vous ce titre que je connais bien par ailleurs : alors que le film qui est à l'affiche actuellement parle d'histoires de gangsters, que le roman de Soljenitsyne parle du stalinisme et des camps de déportés en faisant référence d'une manière bien particulière à Dante, c'est bien à cet auteur italien que se réfère le premier tome des aventures de John Adler à paraître dans quelques mois chez Caramba !. Adler, ce nom ne vous est pas inconnu ? Il ne s'agit pas de la journaliste-écrivaine prénommée Laure mais de cette héroïne de romans à quatre sous qui sont devenus si populaires, les aventures de Sherlock Holmes. Toute sa vie imaginaire durant, ce dernier fera référence à LA femme, Irène Adler, la seule personne à l'avoir vaincu et dont il est éternellement resté amoureux. 
Irène Adler, apparue dans "Un scandale en Bohème", est une femme hors du commun, dont le narrateur des Aventures du détective cacha leur aventure amoureuse dont le fruit d'une nuit de passion fut un fils, John. Voici l'origine du héros imaginée par Berhart, l'auteur du Premier Cercle version Caramba ! 
John Adler est un des héros de cette fresque monumentale mêlant des personnages et des faits historiques, des mythes et des croyances ésotériques, des énigmes du passé et des sociétés secrètes, une race reptilienne métamorphe vivant sous terre et aussi parmi nous, des dieux terrifiants issus d’un univers détruit prenant possession d’hôtes humains, de nombreux personnages et références romanesques, offrant un éclairage nouveau à certains romans et de nombreux rebondissements inattendus où la vérité historique se mêle aux mythes sans pouvoir les distinguer (ouf, c'est dit !). 

Dante parle des neuf cercles de l'enfer ; pour que vous mesuriez l'ampleur du projet à paraître, "Le premier cercle" version Berhart se divise en trois parties : "Les copies Von Breiner" racontant les péripéties qui ont permis à John Adler d’entrer en possession de carnets contenant un étrange récit mythologique et passés de main en main depuis le XVIe siècle, "Les disparues d'Irlande" parlant d'une enquête inconnue et non-résolue de Sherlock Holmes et "Le groupe Stanley-Valpour" où père et fils vont s'opposer à une puissante société secrète à l'origine de la plupart des conflits qui ont secoué le monde depuis des siècles… avant qu'on arrive au neuvième cercle, il s'en sera passé des choses !
C'est un récit totalement en dehors des "politiques éditoriales" rigides ou fermées, peu propices à l'innovation et si formatées que vous proposent les éditeurs traditionnels, que vous allez pouvoir prochainement lire, répondant à nos seules exigences "éditoriales" : créativité, originalité et professionnalisme.
Comme je vous l'ai dit plus haut, il faudra attendre quelques mois pour lire le premier volume de cette histoire, mais d'ici là, je ne manquerai pas une occasion de vous faire participer à sa génèse comme vous pouvez le voir déjà avec la couverture reproduite ici. Moi-même, j'en salive !…
Bon… allez, c'est d'accord… d'ici peu, je publierai une petite présentation des premiers strips, promis !